SIMULATEUR DE PLUS-VALUE IMMOBILIÈRE
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Situation

Situation


  1. Votre plus-value peut-elle bénéficier d'une exonération ?

    La cession de la résidence principale d'un résident fiscal français est exonérée d'impôt sur la plus-value, et il existe bien d'autres cas d'exonération. Pour savoir si vous pouvez en bénéficier, utilisez notre système expert.

Cession

Cession

Une opération de démolition/reconstruction ne peut concerner qu'un immeuble bâti ou des droits sociaux sur un tel immeuble. Veuillez modifier votre saisie.
Acquisition

Acquisition

Résultats

Résultats

    Plus-value imposable

  1. Impôt à payer


Système expert

  1. La valeur en pleine propriété du bien ou du droit cédé est-elle supérieure ou inférieure à 15 000 € ?


  2. Détenez-vous l'immeuble ou les droits cédés depuis plus de 30 ans* ?

    (15 ans en cas de cession avant le 1er février 2012)


    * Pour les cessions postérieures au 1er septembre 2013 (1er septembre 2014 pour les terrains à bâtir), les plus-values sur les biens et droits immobiliers détenus depuis plus de 22 ans sont exonérées d’impôt sur le revenu mais pas de prélèvements sociaux.
    Dans le cas où l’immeuble est détenu par une SCI, c’est la durée de détention de l’immeuble par la SCI qui doit être prise en compte.
    Si ce sont les parts de la SCI qui sont cédées et non l’immeuble, seule doit être retenue la durée de détention des parts. La date d’acquisition des différents immeubles en portefeuille est sans importance.


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  3. Etes vous titulaire d’une pension vieillesse ou d’une pension de réversion ou de la carte d’invalidité de 2ème ou 3ème catégorie ?


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  4. Etiez-vous redevables de l’IFI au titre de l’avant dernière année précédant celle de la cession ?


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  5. Quel est le nombre de parts de votre foyer fiscal ?


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  6. Votre revenu fiscal de l’avant dernière année précédant celle de la cession était-il supérieur ou inférieur à €* ?

    * Montant en vigueur pour une cession postérieure au 24/07/2020 par un contribuable métropolitain

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  7. Dans lequel des cas suivants vous situez vous ?



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  9. S'agit-il d'un partage entre les membres originaires de l'indivision, leurs descendants ou ayants droit à titre universel ou d'une vente effectuée au profit d'un ou plusieurs des coïndivisaires, de leurs descendants ou ayants droit à titre universel ?


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  10. Le bien cédé constitue-t-il votre résidence principale (ou votre ancienne résidence principale en France si vous êtes non-résident) ?


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  11. Etiez-vous résident fiscal de France postérieurement au 1er janvier de l’année précédant celle de la cession du bien ?


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  12. Le bien cédé constituait-il votre résidence principale en France au jour de votre transfert de résidence à l’étranger et est-il resté vacant depuis ?


    Question précédente

  13. Avez-vous occupé l’immeuble cédé comme votre résidence principale, habituelle et effective, jusqu’à sa mise en vente et, si oui, la cession est-elle intervenue moins d’un an après que vous ayez quitté ce bien ?


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  14. Le partage (ou la cession) est-il intervenu avant ou après le 1er Janvier 2008 ?


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  15. thumb_up

    Votre cession est exonérée d’impôt sur les plus-values

    Le remploi doit intervenir dans un délai de douze mois à compter de la perception de l'indemnité ou de son solde

    • à un organisme HLM, à une SEM gérant des logements sociaux, à l’Association Foncière Logement, aux SCI dont cette association détient la majorité des parts pour les logements visés au L351-2 4° du CCH ou à un organisme mentionné au L365-1 du CCH. Depuis le 1er janvier 2021, l’organisme acquéreur doit s’engager, par une mention portée dans l’acte authentique d’acquisition, à réaliser et à achever des logements sociaux dans un délai de dix ans. Pour les cessions postérieures au 1er janvier 2021, l’exonération est totale si la proportion de la surface habitable des logements sociaux sur laquelle porte l’engagement de construire est supérieure à 80%.
    • à une collectivité territoriale, un établissement public de coopération intercommunale compétent ou à un établissement public foncier (EPF) en vue d'une cession dans un délai d’un an (trois ans en cas de rétrocession par un EPF) à l'un des organismes précités en charge du logement social
    • à un opérateur privé qui s’engage, par une mention portée dans l’acte authentique d’acquisition, à réaliser et à achever des logements sociaux dans un délai de dix ans (quatre ans pour les cessions réalisées avant le 1er janvier 2021) et à proportion de la surface du bien sur laquelle il s’engage à les réaliser. Seuls les avant-contrats conclus à compter du 1er septembre 2014 peuvent bénéficier de cette disposition.

    Cette exonération profite aux dépendances immédiates et nécessaires de la résidence principale à condition que leur cession intervienne en même temps (délai maximal d’un an) que celle de la résidence principale.

    Lorsqu’il s’agit d’une cession par des conjoints divorcés ou séparés du logement qui constituait leur résidence principale au moment de la séparation, l’exonération s’applique pour chacun des conjoints sur sa part de plus-value.

    Lorsque la résidence principale est détenue par une SCI et mise à la disposition gratuite de l'un des associés, celui-ci peut bénéficier de l’exonération à hauteur de la quote-part de la plus value constatée lors de la cession lui revenant. Les autres associés ne peuvent en revanche en bénéficier.

    Lorsque l'immeuble est à usage mixte (pour partie résidentiel, pour partie professionnel), la totalité de la plus-value est exonérée si la partie professionnelle de l'immeuble ne nécessite aucun équipement ou matériel spécifique. Sinon, seule la partie de la plus-value correspondant à la cession des locaux constituant l'habitation principale est exonérée.


    Question précédente

Plus-value nette imposable et impôts à payer